Thursday, March 31, 2011

Tout les mensonges sur tellement de choses sont bien pires

Le plus con est que l’infidélité n'était qu'un début

Un coup de couteau dans l’estime de soi

Il est « comme une tempête dont on ne mesure les conséquences qu’après le passage. »

Après l’infidélité…


Découvrir que l’autre a eu une aventure fait mal. Très mal. La crise qui s’ensuit est une épreuve à l’issue incertaine pour le couple, mais elle agit toujours comme un révélateur.
Etre ou ne pas être infidèle. Cela ne semble plus être la question aujourd’hui. L’infidélité, de nombreux couples l’ont rencontrée. Pourtant, ce n’est jamais une expérience anodine. Presque toujours un bouleversement. Car elle fait vaciller le socle sur lequel les couples se construisent : la confiance.
« Les premiers jours qui ont suivi l’aveu par mon mari de sa relation avec une collègue de bureau, raconte Anna-Maria, je n’étais que rage, douleur et humiliation. Je pensais que la seule solution était la rupture. Plus tard, grâce à une conversation avec une amie, j’ai compris que me l’avouer avait été une manière de ne pas me tenir à l’écart. Après avoir, des semaines durant, parlé et pleuré ensemble, lui malheureux de voir mon chagrin et moi écorchée vive, au milieu de cette avalanche d’émotions, nous avons pris la mesure de l’amour qui nous liait. Malgré tout, nous ne savons pas encore si nous pourrons rester ensemble. Car je suis devenue très méfiante et cela empoisonne notre vie. »

Une prise de conscience

Comme toute crise du couple, celle ouverte par la découverte de l’infidélité est une épreuve dont on ne connaît pas l’issue. Elle peut s’achever par une rupture difficile ou ouvrir des horizons nouveaux.
Salomon Nasielski, psychothérapeute, s’étonne d’observer que « certains couples unis depuis des années volent en éclats pour une aventure exceptionnelle d’une nuit, quand d’autres parviennent à surmonter la découverte d’une longue liaison extraconjugale.
Ces situations agissent, en fait, comme un révélateur des problèmes du couple, dont les partenaires n’avaient souvent pas conscience. Elles leur offrent l’occasion d’approfondir leur projet – car un couple ne saurait être uniquement fondé sur un accord sexuel – mais pour cela, les deux protagonistes doivent être suffisamment mûrs pour se remettre en cause. »
L’infidélité, c’est aussi l’apparition d’un tiers au sein du couple. Il est invisible, mais éprouve du désir pour l’un des partenaires. « Ce qui m’a le plus surpris quand j’ai su que ma femme avait une liaison, raconte Yves, c’est mon changement de regard sur elle. Jusque-là, je la voyais vivre à mes côtés avec cette impression rassurante de la connaître totalement. Après, je me suis mis à penser au regard d’un autre sur elle. Je me demandais s’“il” était ému par ces mêmes petites choses qui m’attachent tant à elle, ou si, au contraire, il avait découvert des aspects qui m’avaient échappé. J’ai énormément souffert mais, à partir de là, j’ai été beaucoup plus attentif, car j’aime ma femme et je veux la garder. »

La preuve par les mots

Réagit-on de la même façon si l’on découvre l’infidélité par un aveu ou si on l’apprend suite à une indiscrétion ? « Ce que je n’ai jamais accepté, raconte Suzanne, c’est d’avoir entendu, alors que je téléphonais un matin à mon compagnon pour le prévenir du retard de mon train, une voix féminine s’exclamer soudain : “Tu ne lui dis pas que tu es avec une femme ?” Je ne me suis pas encore remise de ce choc ! Après cela, comment pouvoir de nouveau croire aux déclarations d’amour d’un homme ? »
« Il est toujours plus problématique de découvrir la situation par une indiscrétion, explique Jacques-Antoine Malarewicz, psychiatre et psychothérapeute. On en déduit que l’autre ne supportait pas si mal de nous trahir et que nous aurions pu très longtemps rester dupe. Tandis que lorsque le partenaire avoue, c’est le gage de son incapacité à vivre la situation dans laquelle il s’est mis et de son désir d’en parler. »
Si certains parviennent à « digérer » l’aveu et acceptent de discuter, d’autres en sont incapables. « Quand mon compagnon m’a avoué qu’il me trompait depuis plusieurs semaines, je n’ai eu de cesse de lui rendre la monnaie de sa pièce, raconte Ludivine. Et finalement, bien m’en prit. J’ai découvert qu’il n’avait pas totalement tort quand il m’expliquait qu’entretenir des relations sexuelles avec une autre n’enlevait rien à notre couple. Lorsque je suis revenue de ce déplacement au cours duquel j’avais passé une nuit très érotique avec un homme, je n’avais qu’une seule hâte : retrouver mon compagnon. Je lui ai tout raconté. Après une discussion orageuse de plus de trois heures, tout s’est terminé en faisant l’amour comme nous ne l’avions pas fait depuis longtemps ! »
Pour Jacques-Antoine Malarewicz, il y a deux sortes de couples : « D’un côté, les couples “bouliers” : ils comptabilisent chaque acte comme preuve, ou non, d’amour. Pour ceux-là, l’infidélité risque d’être destructrice, car elle sera vécue comme une arme transformant l’autre en victime. De l’autre, les couples “double mètre” : ils ont besoin de réajuster régulièrement la bonne distance entre eux. Ceux-là peuvent retourner la situation à leur profit, car elle leur permet de vérifier leur attachement. »
Céder mais ne pas rompre ?
Aujourd’hui, les divorces se multiplient et les familles recomposées se banalisent. Pourtant, nombreux sont ceux qui s’interrogent sur ces « années rupture ». Et comprennent qu’elles ont provoqué beaucoup de drames. Les femmes surtout – puisque, en majorité, les séparations ont lieu à leur demande – constatent que succomber à quelques tentations n’implique pas pour autant la destruction du couple.
« Les femmes sortent enfin du rêve de l’amour absolu, commente Isabel Korolitski, psychanalyste. Ce que je trouve intéressant, chez celles qui s’autorisent des aventures, c’est qu’elles apprennent à se donner, puis à se reprendre, pour ensuite se donner ailleurs, tour à tour à leur mari, à leurs enfants, à leur travail, à leur amant, à leurs amis, dans une véritable autonomie. Jusque-là, les femmes étaient toujours écartelées entre les différents rôles qu’elles voulaient jouer. Etre infidèle leur offre la possibilité de construire une cohérence entre ces différentes parties d’elles-mêmes. »
Mais ces considérations ne tiennent pas face à nos sentiments. Car ils nous dépassent et nous ne pouvons les contrôler. « Ma femme a été loyale, raconte Germain, puisque le contrat entre nous n’était pas d’être fidèles mais de nous dire la vérité. Et c’est ce qu’elle a fait. Malheureusement, je l’ai moins bien supporté que je ne l’aurais cru et je suis incapable de faire les efforts nécessaires pour continuer une vie agréable. Je suis énervé, violent parfois, même si elle m’assure que sa liaison ne remet rien en cause entre nous. »
La vie d’un couple n’est pas linéaire. Parfois, elle relève de l’équilibre entre désir, amour, raison et déraison. L’infidélité arrive souvent comme une tempête dont on ne mesure les conséquences qu’après le passage. S’ouvrir à l’inconnu, c’est prendre des risques pour soi et pour l’autre. Et si être ou ne pas être infidèle était quand même la question ?
Un coup de couteau dans l’estime de soi
L’infidélité remet en cause la place privilégiée offerte à l’autre dans sa vie. Ce livre propose des pistes pour faire face à ce bouleversement et envisager différentes issues (InterEditions, 2002).
On peut toujours se dire que la jalousie est un vilain sentiment, qu’aimer c’est laisser sa liberté à l’autre. Impossible de se raisonner, en revanche, quand s’ouvre la blessure narcissique, qui accompagne si souvent l’infidélité du partenaire. Elle malmène le sentiment d’estime de soi, conduit à s’interroger sur sa valeur, sur son pouvoir de séduction… Et plus on doutait d’être réellement aimable, plus on souffre. Mais cette fêlure intime peut aussi atteindre ceux qui avaient le sentiment d’être sûrs d’eux.
Il suffit que la "trahison" survienne dans un contexte fragilisant : un licenciement, une désillusion professionnelle, un deuil. Dès lors, c’est l’obsession : « Qu’a-t-il (elle) de plus que moi ? Est-ce parce qu’il (elle) est plus jeune, plus beau (belle), plus riche, plus intelligent(e) ? En quoi satisfait-il (elle) mon (ma) partenaire plus que moi ? »
Ces questions, on se les pose à tout âge. Mais peut-être encore davantage au fil des années. « Cesse donc de te comparer à lui (elle). Avec lui (elle), c’est une autre histoire, sans rapport avec toi », déclare l’infidèle. « Le bonheur réside dans le renoncement à se comparer à autrui », disait également Spinoza. Facile à dire, moins facile à faire ! Surtout quand la volonté de comprendre – ou plutôt la croyance qu’il y a forcément quelque chose à comprendre – l’emporte. Tous les couples ne se séparent pas après un épisode extraconjugal. Mais la fêlure narcissique ne se referme jamais définitivement.
Faut-il avouer ?
D’entrée, la psychologue Sara-Anne de Saint Hubert fait remarquer que « le terme “avouer” en dit long sur la culture judéo-chrétienne dont nous sommes issus ». Quant au fond, tout dépend de la conception que l’on a de sa vie. Si l’on considère que le couple est le lieu d’un dialogue intime où chacun partage avec l’autre son évolution au fil du temps, il faut avouer. L’infidélité est toujours l’indice d’un changement à l’intérieur d’une personne. L’autre doit en être informé pour pouvoir, lui aussi continuer à évoluer.
En revanche, si l’on considère le couple comme le cheminement, côte à côte, de deux individus qui gardent chacun leur jardin secret, il n’y a aucune raison d’avouer. L’infidélité ne concerne que celui qui la commet et cette part de vie qu’il construit seul.
Septembre 2003

Sarah Palin Wonders Aloud if Libya Action is a "Squirmish" | Crooks and Liars

Sarah Palin Wonders Aloud if Libya Action is a "Squirmish" | Crooks and Liars

Wednesday, March 30, 2011

How do you go about actually getting the help you need while maintaining your employment?

1.  Crisis intervention
2.  A place to go
3.  Health care
4.  A j-o-b, a real one, a decent one.  And in the meantime, a way to get 1-3 above while maintaining the j-o-b I have.

Any ideas?

The Doors Knew All Along

Of our elaborate plans, the end
Of everything that stands, the end
No safety or surprise, the end
I'll never look into your eyes...again.

Lost  in and endless wilderness of pain.
C’est triste.

C’est con.

Plus rien à faire.

C’est irrécupérable.

Jamais, jamais, jamais je n’ai aussi soufferte.

Jamais personne ne m’a fait tellement de mal.

Jamais qui que ce soit ne m’a fait tellement de tort.

Personne d’autre ne m’a si trahi.

Dit c’est dit. Fait c’est fait. Trop c’est trop.  Et là, on est allé bien plus loin que trop.

L’espoir est mort, tué, détruit.

L’amour aussi.

Il ne reste que larmes et lambeaux du cœur qui était mien.

J’abandonne.

Bonne continuation, monsieur.  Que tu aies tout ce que tu mérites.

Tuesday, March 29, 2011

It's Baaaaaaa-aaaack. Or it Never Left. Either Way, it Sucks to be Me!!!


I was sick forever.  Painfully so.  Endometriosis, PCOS, a botched ilioinguinal hernia repair, bladder surgery, self-catheterization imposed due to my inability to pee, scar tissue everywhere, vulvar vestibulitis, DVT, interstitial cystitis, limping, difficulty walking, depression, anxiety, bi-polar disorder, agoraphobia, hypothyroidism.  The list goes on.  For a couple of years there, I only left the house to go to the doctor. I had woken up from the total hysterectomy and bi-lateral salpingo-oophorectomy on April 15, 2001 feeling better than I had ever felt.

I thought my last surgery, on February 2, 2002, was the end of that. But noooooooo, it’s pretty dang sure I have diaphragmatic endometriosis.  I am in constant pain.  I have difficulty sleeping.   I have had this unrelenting pain in my back since before 2001, but it was nothing in comparison to the rest.  That pain never went away.  And I get this funky a$$ed pain under my rib cage.  It hurts me to stand.  Or walk more than five feet.  I have pain in my right shoulder, difficulty breathing, fatigue, despair, etc.  They have checked my lungs, done x-rays, MRIs, etc., the lungs are fine.  The ribs are fine.  It’s almost certainly diaphragmatic endometriosis.

I can’t do this again.  I just can’t.  All those years of being sick, and sick of doctors, and in pain...  I can’t take the pain.  Tylenol is almost as effective as gumdrops.  Ibuprofen takes the edge off.  I was on fentanyl for a while.  That helped with the pain, but is no way to live. 

And I no longer have health insurance.

All I can do is cry.

And go back to France where they have universal healthcare.

As if things weren’t bad enough between us, Fabrice is going to kill me.  I’ll probably leave him here to fulfill his dreams, while I go do what I have to to get this taken care of.

I’m so tired of hurting and even more tired of being sad.

I really can’t do this again.

And that’s all I have to say about that.

Saturday, March 26, 2011

One Picture, 23 Filters - An Experience























"My land is bare of chattering folk;
The clouds are low along the ridges,
And sweet's the air with curly smoke
From all my burning bridges."
~Dorothy Parker

Friday, March 25, 2011

Morgan Said I'd Made Her Lips Too Pointy - So I Fixed Them. I Think.


http://vimeo.com/7687455
And here it is again with just the Morgie part.

Here's another photo I edited to take the blemishes and the speaker out of the picture, not to mention the girl who isn't my daughter!! LOL. I only did that because I wanted to isolate this image of Morgan, which I find very pretty and unique (I didn't take the original shot).

Anyway, I'm sharing so you can see another example of what photo editing software allows you to do.

Have a good weekend, everybody!

My Friend's Sister

While it isn't perfect, I am pretty happy with the results. Plus, the picture I was given was pretty low resolution. And I try to keep manipulations to a minimum to preserve as much as possible the integrity of the original photo.

In any event, I think this is a good example of the kind of thing I really appreciate PhotoShop for. With it, going down to the single-pixel level, I was able to work on restoring this picture of my friend's sister.

Thursday, March 24, 2011

Le top 10 des causes de rupture les plus fréquentes

Info rédaction, publiée le 23 mars 2011

http://www.zigonet.com


Le top 10 des causes de rupture les plus fréquentes
La version britannique de Cosmo a demandé à 1400 femmes de donner les raisons de leurs dernières ruptures pour en faire un classement.
Très peu sont ceux qui n'ont jamais vécu de rupture. Partant de ce constat, la version britannique du magazine féminin Cosmo a interrogé 1 400 femmes pour connaître les raisons de leurs dernières ruptures. Si certaines sont logiques et connues, d'autres sont néanmoins plus surprenantes.
10e - Le sexe est l'une des causes de rupture les plus répandues. Ainsi, elles sont 15,7% à avoir rompu car leur partenaire n'était pas vraiment un étalon sous la couette.
9e - Les problèmes d'entente avec la famille et les amis sont rédhibitoires pour 18,9% des femmes. Apprécier la belle-mère ou la meilleure copine peut donc être judicieux si vous voulez garder votre dulcinée.
8e - Un déménagement a causé la rupture d'un couple chez 20,2% des femmes interrogées. Les relations à distance ne sont pas vraiment leur tasse de thé.
7e - La carrière est quelque chose d'important pour certaines femmes, à tel point qu'elles ne supportent pas le fait que leur homme n'ait pas envie d'évoluer professionnellement. Pour 20,6% des femmes, ce manque d'ambition est une cause de rupture.
6e - Pour garder votre âme sœur, sachez messieurs conserver votre côté romantique en éveil. 21,1% des femmes ont rompu car leur conjoint ne faisait plus attention à elles.
5e - A égalité (21,1%) avec le romantisme vient le désir d'être célibataire. En effet, il n'y a pas que les hommes qui ont parfois envie de se retrouver libre de draguer et séduire comme bon leur semble. Les femmes aussi veulent pouvoir vivre seules lorsqu'elles en ont envie.
4e - A force de disputes, 29,1% ont conclu qu'elles n'étaient pas faites pour vivre avec leur compagnon d'alors.
3e - La confiance est quelque chose d'important pour une femme. Ainsi, elles sont 29,7% à avoir déjà mis fin à une relation parce qu'elle ne faisait plus confiance à leur homme, ou parce qu'il avait menti.
2e - 36,6% des femmes ont rompu parce que leur conjoint a été infidèle. Un résultat qui n'arrange pas la réputation des hommes...
1er - Cela peut paraître banal, mais le désamour arrive en tête de ce sondage. 39,7% des femmes interrogées ont expliqué avoir déjà rompu pour ce motif.
A noter que parmi les réponses données arrive en bonne position le fait que l'homme voulait passer à l'étape supérieure dans la relation mais pas la femme (12,7%). L'inverse est en revanche moins courant (9,1%). Enfin messieurs, ne soyez pas trop collant et ne regardez pas trop de films X, car certaines en font un motif de rupture.
http://www.zigonet.com/couple/le-top-10-des-causes-de-rupture-les-plus-frequentes_art20938.html

Wednesday, March 23, 2011

I Said, "Good Day!!!"


I am not racist.  I am about as unprejudiced as they come.  I have preconceived notions, right or wrong, that have been formed by my upbringing, my experiences, etc., like everybody else.   But when it comes down to it, I do not believe that ANYBODY is better than anybody else, that any job is more worthy, that anybody is smarter, etc.  We all have different strengths.  WE are all good at different things.  Like that Einstein quote says, "Everybody is a genius. But if you judge a fish by its ability to climb a tree, it will live its whole life believing that it is stupid."

I was born a citizen of two countries: France and the United States.  I love them both.  Differently.  For different reasons.  But frankly, when it comes down to it, I am more American than I am French.  Now, don’t get me wrong, I am not thrilled with the path these United States have taken in recent years.  To the point that I am pretty much convinced that I am moving back to France for the duration.  And last time I lived there, I hated it.  But this time, I’ll live where I want to live and do what I want to do and not let those oh-so important decisions be made by other people or determined by other people’s needs and wants.  I am not usually so selfish, but once in a while you need to do what’s best for you, right?

Okay, so anyway, I was born with two citizenships.  There are some things I like better about France and others that I like better about the United States.  Interestingly, though France was the birthplace of the Declaration of Human Rights and thought put into practice in that realm of human existence, I believe, from my own experience, that freedom is something I like more in the United States.  Simply put, we are freer than the French.  We can change our minds about careers at any age, go back to school whenever we want, we don’t have to decide what we’re going to be at age 14, our every educational and career action or hope or trajectory is not determined by an essay exam or series thereof.  We can speak our minds, say what we don’t agree with, and dress how we want, even if it means wearing a hijab or a Star of David or a habit.  We can go to school where we want to.  We can teach our children ourselves.  We can work where we want, live where we want, and go grocery shopping at 4:11 a.m., if that’s what our little heart desires.  We can name our children Fred Flintstone, and no government organization is going to say that no, that’s not okay.  And yes, fellow incredulous Americans, that list is but a sampling of things we *can* do here that they can’t do in France.  Well, they can do a couple of them.  IFF (for those of you who aren’t quite as downright geeky as I am, IFF=if and only if) they can figure out how, and such figuring is no small feat! 

There are a lot of things wrong with these United States, but those are not the point of my rage.  Not today, anyway.

Today, I am angry.  Oh, yes, indeedy.  Very angry.  I am not often this mad.  Or passionate as some would say.  Oh, don’t get me wrong, I am pretty darn passionate about what I believe in, but I try very hard to temper the potentially inflammatory statements that passion can engender.  I try to listen to other people’s points of view.  I try not to indulge in what I think is usually going on in any given debate, trivial or of global import, which is to pretend to listen, really listen, to your opponent’s point of view or argument, while seemingly innocuously engaging in mental gymnastics.  Instead of actually *hearing* what is being said when arguing or debating or discussing or whatever you want to call it, I think we often spend the time when we are not talking in planning what we are going to say next.  AS such, there is no way anybody will ever learn or be convinced of anything or change their mind.  Ever.  We’re too often too busy figuring out what we can say in retort to actually benefit from the discussion at hand.  Sad.  But true.  In my opinion.

So, anyway, what’s got me so worked up, you ask?  Yesterday, a Facebook friend posted the following on his or her wall:

I PLEDGE ALLEGIANCE TO THE FLAG OF THE UNITED STATES OF AMERICA AND TO THE REPUBLIC FOR WHICH IT STANDS, ONE NATION UNDER GOD, INDIVISIBLE, WITH LIBERTY AND JUSTICE FOR ALL! MY GENERATION GREW UP RECITING THIS EVERY MORNING IN SCHOOL WITH MY HAND ON MY HEART. THEY NO LONGER DO THAT FOR FEAR OF OFFENDING SOMEONE! LET'S SEE HOW MANY AMERICANS WILL REPOST THIS & NOT CARE ABOUT OFFENDING SOMEONE

Okay.  Now please understand, I don’t often repost things anymore.  I don’t like imposing things on people, playing games, or anything of the sort.  Okay, I like playing games, word games, board games, guessing games, etc.  Not mind games.  I don’t like laying guilt trips.  I am not a proponent of tough love.  If you want something from me, ask.  If I can do it, I will.  If I can’t, I can’t.  If I want something from you, I’ll ask.  I don’t need to put conditions on things or set up silly rules for other people to follow.   I really believe in that live and let live mentality you hear about sometimes.

So, I didn’t respond or repost or anything else.

And then…

This morning, I awoke to read the following comments that were posted under my friend’s post:

Russia – our holy nation,
Russia – our beloved country.
A mighty will, great glory –
These are yours for all time!
Chorus:
...Be glorious, our free Fatherland,
Age-old union of fraternal peoples,
Popular wisdom given by our forebears!
Be glorious, our country! We are proud of you!
From the southern seas to the polar lands
Spread our forests and fields.
You are unique in the world, one of a kind –
Native land protected by God!
Chorus
Wide spaces for dreams and for living
Are opened for us by the coming years
Our loyalty to our Fatherland gives us strength.
Thus it was, thus it is and always will be!

And then,

or in Russian...
Россия – священная наша держава,
Россия – любимая наша страна.
Могучая воля, великая слава –
Твоё достоянье на все времена!
Chorus:
...Славься, Отечество наше свободное,
Братских народов союз вековой,
Предками данная мудрость народная!
Славься, страна! Мы гордимся тобой!
От южных морей до полярного края
Раскинулись наши леса и поля.
Одна ты на свете! Одна ты такая –
Хранимая Богом родная земля!
Chorus
Широкий простор для мечты и для жизни
Грядущие нам открывают года.
Нам силу даёт наша верность Отчизне.
Так было, так есть и так будет всегда!

Then, finally,

it offends me to see it...

That was it.  I’d had it.

Does that person not have any notion of respect or dignity or patriotism or national identity?  Who on God’s green earth does he or she think he/she is for corn’s sake????!!!!

What right does anybody have to come to America and criticize us?  What right do we have to go to Cuba and tell them they’re doing things wrong?  What right does anybody have to go into someone else’s home(land) and tell them they need to live differently or eat differently or feel differently or believe differently?????  What in the hell ever happened to self-determination, to autonomy, to a person or city or state or nation being allowed to decide for himself/herself/itself????

If you’re here from somewhere else and you don’t like it, GO HOME!!!!  And I don’t care if “here” is my desk, my room, my home, my community or my country.  Or anybody else’s.  Be respectful and tolerant or people and differences, and don’t go imposing yourself or your beliefs in other people’s worlds.  Just don’t.  Isn’t that one of the basic precepts of human decency?

So, duly riled, I could not contain myself, and said:

I don't think the Russian thing has anything to do with the point ***** is making.

Patriotism is one thing, and a good thing, no matter your country. What I think she is talking about, and I hope I am not talking out of turn here, *****, is a matter of rending the very social fabric of a nation to accommodate newcomers.

Now, I am all for plurality, diversity, and acceptance, BUT, when you go somewhere, when you choose to make another country your home, it is not your place to then seek to change that country. And further, it's one thing for Americans to opt out of the "Under God" part. It's entirely different to seek to abolish those words from what has become sacred. A Pledge. Of Allegiance. That's no small thing. It is not up to others to prevent any nation from adhering to a time-honored tradition that is part and parcel of its national identity.

Followed by:

It offends me deeply to read what you have written, *********.

I don't care if a person chooses to say "under God" or not, but I do think that saying the pledge of allegiance is okay. Part of what makes us American.  If you don't like it, stay in Russia or go back there, and keep your patriotism to yourself and not defacing the FB walls of someone who is simply conveying h** pride in h**country and one of its traditions.

You obviously do not understand and your callous remarks reflect a closed-mindedness and intolerance that truly anger me.

That's all I am going to say about this, as you have me way too upset.

In the words of the immortal Willie Wonka, "You get nothing. You lose. Good day, sir. [...] I said, good day."

I am, obviously, several hours later, still riled.  I mean, really, some people’s kids!!!  What nerve!!!

Fortunately, the person who published the original note understood what I had to say, and replied:

Danielle, VERY well said! That is exactly my point, and it does not just apply to our Pledge of Allegiance, I feel the same way when it comes to ALOT of things that OTHERS want to change that have been a Fabric of our TRADITIONS for years!! ********** you have offended me as well!! You are obviously a FOOL!! I hope you are NOT one that Lives in OUR country!! and saying that OUR Pledge of Allegiance offends you because YOU sir would be EXACTLY who we are talking about.

Maybe we should all keep our propaganda to our own walls and not belittle others on their FB walls for their beliefs? 

And that’s all I have to say about that.

For now.

Si on retourne en France, et si on rentre ensemble tous les deux, nous pensons rentrer des qu’il aurait été naturalisé américain. On sait qu'il aura à "recommencer" en ce qui concerne le temps au poste de travail, et je comprends qu'il n'y a pas forcement des quantités énormes de possibilités de mutation pour des brigadiers chefs. Mais l'intention serait soit de trouver un endroit où vivre qui ne craint pas de trop, ne coute pas trop, trop cher, et qui ne m'oblige pas à passer trois heures dans les transports et le matin et le soir (six heures par jour, je te dis pas combien c'était dur!!!!), pour pouvoir rester en région parisienne; soit de rester sur Paris les années qu'il faut pour pouvoir après être muté ailleurs, où la vie est un peu plus simple et un peu moins chère, mais où c'est assez grand quand-même pour que je puisse y travailler et qu'il y a un commissariat.